La matrice des potentiels sociaux

by Esther Daga

Powell 365 cité dans l’étude de Lecko

Résumé de l’étude 

Lecko a sorti son Tome 10 sur l’état de l’art de la transformation interne des organisations. Près de 60 solutions suivant des usages concrets identifiés auprès de clients utilisant des outils collaboratifs ont été analysées. 14 analystes ont été impliqués pour construire une étude pertinente basée sur les retours de 87 éditeurs.

La matrice des potentiels sociaux permet d’évaluer la capacité d’une solution à transformer une organisation en favorisant le développement de nouveaux usages collaboratifs. Les solutions ont été évaluées sur des critères de transformation, de transversalité, de productivité et de processus.

Les solutions « tout en un » se heurtent à l’embarquement massif des utilisateurs. 

La suite Microsoft Office 365 est aujourd’hui la suite la plus riche en usages du marché.

Cette étude référence Powell 365 comme la solution « Add-on » se positionnant pour apporter de la cohérence à la suite Office 365.

Certains spécialistes réussissent le pari de la transformation à leur échelle en adressant notamment des usages simples et effectifs autour du sentiment d’appartenance et de la mise en réseau des collaborateurs. Ces derniers peuvent avoir le besoin de changement (on parle de « Shadow IT »). Les entreprises cherchent donc à développer des méthodes collaboratives pour connecter tous leurs employés. Ainsi, la communication interne évolue de sorte que les informations soient facilement accessibles via les médias sociaux de l’entreprise.

Enquête Lecko-Yougov

L’enquête a été réalisée auprès de 1009 collaborateurs, du 1er au 8 décembre 2017. Le panel est représentatif sur l’âge des participants, leur niveau d’encadrement, leur territoire, et leur catégorie socio-professionnelle. 22% des collaborateurs du panel sont des managers (top et middle), 21% travaillent dans des entreprises de 5000 à 9999 employés et 79% dans des entreprises de plus de 10000 personnes.

Près de la moitié des entreprises acceptent le BYOD (Bring your own device, qui consiste à amener son propre matériel) sachant que 49% des utilisateurs utilisent leur propre équipement au travail. Les entreprises ont du mal à se positionner sur ce sujet. L’équipement fait partie de l’expérience salarié. Leur matériel est souvent plus adapté à leurs besoins que ceux fourni par l’entreprise.

Avec le temps, les utilisateurs ont pris plus de poids et ont aujourd’hui le dernier mot sur l’utilisation des services déployés par l’entreprise.

Cette dernière a donc tout intérêt à prendre en compte l’avis de ses employés pour faciliter l’adoption et donc réduire les coûts et ainsi augmenter l’efficacité du déploiement.

 

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